Here is a translation of the article below from Le Canard Enchainé (20/11/2013)
EPR : the great DIY
" Damaged " on October 16 , after another and yet another technical " hazard " , the dome of the future Flamanville is perforated and must be repaired with , according to the regional head of the Nuclear Safety Authority (ASN), the " patches " ! This time it is two pieces of metal that have been " ejected " during a load test of the bridge handling the EPR. The parts in question, four pounds of gear and a key , projected as a result of an unexpected breakdown of the inner metal wall of the dome, bounced off the lid of the reactor, supposed to withstand the crash of a plane line , eventually crashing 20 meters down outside the security perimeter. No injuries, fortunately ..
Still, this new incident raises a number of questions. The security staff at the EPR site but also the intrinsic safety of the future reactor. Besides the fact that EDF is now forced to tinker with " patches " on the EPR , the metal parts out of the handling crane is a serious problem , since this is supposed to regularly lift the lid of the reactor nuclear during the half - century to come.
Our English neighbours are on the verge of signing with EDF for two EPRs .
Have they provided enough " patches ?" .
EPR : le grand bricolage
“Endommagé”, le 16 octobre, après un nouvel et énième “aléa” technique, le dôme du futur EPR de Flamanville est troué et doit être réparé avec, selon le responsable régional de l’autorité de Sureté nucléaire (ASN), des “rustines” ! Cette fois, ce sont deux pièces de métal qui ont été “éjectées” lors d’un essai en charge du pont de manutention de l’EPR. Les pièces en question, une roue dentée de 4 kilos et une clavette, projetées à la suite d’une rupture imprévue de la paroi métallique interne du dôme, ont rebondi sur le couvercle du réacteur, censé résister à la chute d’un avion de ligne, pour finir par s’écraser 20 mètres plus bas, en dehors du périmètre de sécurité. Aucun blessé, heureusement..
Reste que ce nouvel incident soulève un certain nombre de questions. Celle de la sécurité du personnel sur le chantier EPR mais aussi celle de la sureté intrinsèque du futur réacteur. Outre le fait qu’EDF soit aujourd’hui contraint de bricoler des “rustines” sur son EPR, la rupture de pièces métalliques sur le pont de manutention pose un sérieux problème, dans la mesure où ce dernier est censé soulever régulièrement le couvercle du réacteur nucléaire pendant le demi-siècle à venir.
Nos voisins anglais, sur le point de signer avec EDF pour deux EPR, ont-ils prévu suffisamment de “rustines” ?.